Tous les intervenants du CEFEL sont des professionnels en activité. Ils cumulent un niveau académique minimum de niveau bac + 5 accompagné d’une expérience professionnelle, associative, politique ou para-politique d’au moins 5 ans dans leur domaine d’intervention.

Le Centre Européen de Formation des Elus Locaux (CEFEL) est un organisme associatif constitué en fonction des dispositions de la Loi 1901.

Constitué en 2010 (JO du 13 mars 2010), dirigé par des élus, adossé à un Conseil Scientifique composés de professionnels et de personnalités qualifiées, le CEFEL entend être un lieu d’échange et de dialogue permanent entre les élus et les formateurs.

Le CEFEL a été agréé comme organisme de formation d’élus par la DGCL du Ministère de l’Intérieur le 2 décembre 2010, agrément renouvelé le 6 décembre 2012.

La création du CEFEL est née de la volonté d’élus locaux de tous bords (Gauche, Droite, Centre, Ecologistes, Souverainistes, Non-Inscrits), de professionnels de la politique et de techniciens, conscients de carences importantes dans la réactivité des réponses attendues par les élus, et du manque de suivi de la plupart des organismes chargés de la formation. Parmi les élus constituant le Conseil d’administration du CEFEL on retrouve aussi bien des Conseillers Régionaux, des Conseillers généraux, des Elus municipaux (Maires, Ajoints, Conseillers) et communautaires. Ces élus sont issus de secteurs fortement urbanisés (Région parisienne, Agglomération Lyonnaise ou Marseillaise) que de secteurs ruraux.

L’objectif est triple :

–         Mettre à disposition des élus un catalogue de formations pertinentes.

–         Etre capable de répondre aux demandes particulières et ponctuelles formulées par les élus en dehors des modules de formation inscrits au catalogue.

–         Etablir, à l’attention des élus et collectivités adhérentes, une veille juridique et institutionnelle donnant lieu à la rédaction d’une lettre électronique périodique d’information ainsi qu’à une permanence téléphonique.

La formation est un droit accordé à chaque élu. Il convient que ce droit puisse être exercé dans des conditions financières raisonnables, avec l’aide d’outils et de formateurs de qualité.